Triste réalité d’un segment de la presse qui meurt à petit feu. J’ai de l’espoir en son renouveau et les initiatives qui sont apparues dernièrement comme Sumimasen Turbo ou Origami en sont la preuve.
Triste réalité d’un segment de la presse qui meurt à petit feu. J’ai de l’espoir en son renouveau et les initiatives qui sont apparues dernièrement comme Sumimasen Turbo ou Origami en sont la preuve.
Idem pour les salons de jeux. Ça n’a plus aucun sens aujourd’hui.
Seul certains type de compétitions reste en présentiel ; les jeux de combats où la victoire se joue à quelques images. Et avec le rollback netcode qui se démocratise, le présentiel peut être organisé autour de quelques compétiteurs uniquement (les 64 finalistes, par exemples).
Avec internet, tu as accès aux joueurs, au vidéos. L’attraction tourne autour de la présence d’un jeu sur les déférents cercles sociaux. Le centre de l’intérêt des gens tournent autour des influenceurs dont la plupart sont des quidams.